Bon allez.. J'me lançe ^^Je sais pas si vous connaissez les fictions "Dramione". C'est une fan-fiction sur le couple que forme Drago Malefoy et Hermione Granger dans Harry Potter *secache* Donc voilà "l'analyse' de la chose avant de commencer :

»_Une Hermione qui n'est plus si sur d'elle, un Drago qui trébuche un peu trop dans ses pas au goût de son père, deux âmes vagabondes qui cherchent quelqu'un à qui se confier, deux cœurs qui ne demande qu'à s'aimer et deux sangs qui ne demande qu'à se mêler. Voilà comment je définirais l'histoire qui va suivre.

- Personnages principaux : Drago et Hermione.

- Nombre de chapitre en ligne : 1

- Statue de la fiction : En cours

- Genre de la fiction : Romance

Elle est là, minable, à ses pieds, les larmes souillant son visage, ressemblant à celui d'une poupée de porcelaine. Lui, il la regarde désespérément, son masque froid n'ayant plus de place sur son visage ravagé par la tristesse. Il s'accroupit face à elle et la prend dans ses bras, la serrant le plus fort possible contre lui. Le bien et le mal enfin réuni au sein d'un même ensemble, voilà ce qu'ils représentent à ce moment-là. Deux personnes, deux âmes, deux cœurs, deux objets que la société définit comme de banals adolescents alors qu'au fond d'eux ils sont plus adultes que tous ceux qui prétendent être des Hommes réfléchis et qui se prennent pour de grands philosophes alors que ce ne sont que de simples personnes. Il la tient contre lui en la haïssant du plus fort qu'il peux de l'attirer comme elle seule en a le pouvoir. Il veut l'enserrer jusqu'à l'étouffer mais le corps fragile qui sanglote entre ses bras l'en empêche. Quatre mots sortent de sa bouche alors qu'une goutte d'eau salée s'aventure sur sa joue, finissant sa course sur les cheveux de la jeune fille.

« - Je te hais Granger. »

Tout se mêle dans sa phrase, la colère, la douceur, la jalousie, la compassion... L'amour, la haine. Les pleurs de la jeune fille se calment et elle le regarde avec incompréhension. Il la serre dans ses bras puis lui dit qu'il la haït. Qu'est-ce qui ne va pas chez lui ?

« - Je hais l'emprise que tu as sur moi, la façon que tu as de me regarder, de me parler. Nous ne sommes pas censés être là, à nous enlacer et moi je ne devrais pas te parler comme je le fais maintenant et pourtant je le fais, ON le fait. Je fais partie du côté mal, toi de celui du bien. »

Elle pleure, à nouveau, ça lui brise le cœur mais il ne sait pas quoi faire à part se lever et partir. Ses pleurs redoublent alors qu'elle se lève et titube en direction de ses appartements communs avec lui mais bifurque dans une autre direction. Non elle n'avait pas envie de le voir, pas maintenant. Il faut que la blessure cicatrise avant de pouvoir affronter son regard métallique, encore. Elle erre sans but dans les couloirs et atterrit en haut de la tour d'astronomie. Elle commence à rebrousser chemin lorsqu'elle aperçoit quelqu'un qui est adossé à un mur à proximité d'elle.

« -C'est lui qui te met dans cet état. Hein Granger ? Elle se retourne et le regarde en fronçant les sourcils.

-Je... De qui parles-tu Zabini ?

-Dray. Qui d'autre ?

-De... »

Elle soupire et ses larmes recommencent à couler. Blaise s'approche et la prend dans ses bras. Elle s'y cale et pleure. Elle se fout que ça soit son ennemi, que quelqu'un les surprenne. Plus rien ne comptais. Tous les deux sentent un lien se créer entre eux. Pas de l'amour, malgré que ça soit aussi fort que ça. Le calme pour seul témoin ils parlent pendant une bonne partie de la nuit, l'aube se lève lorsqu'ils résilient à partir chacun de leurs côtés.Lorsqu'elle rentre dans les appartements des préfets en chef, Hermione voit Drago, endormi sur le canapé. Elle sourit et le dépasse avant d'entrer dans sa chambre. Elle s'assoit sur son lit en soupirant avant de se laisser tomber dans ses oreillers et de fermer les yeux. Trop fatiguée pour se changer. Elle s'endort lentement, accueillie par les bras de Morphée. Drago, de son côté, se lève lorsqu'il n'entend plus un bruit dans la chambre de la Gryffondor. Il s'approche, sans bruit, tel un serpent, et la regarde dormir. Il a une envie folle de l'embrasser mais se retient, il ne peut pas, il n'a pas le droit. Il déplace une mèche qui barre le visage de sa belle. Elle cligne des yeux et, quand il se retourne pour partir, lui attrape le poignet. Ils se regardent, l'acier contre le chocolat, le feu contre la glace, la haine contre l'amour. Il s'approche et l'embrasse, amoureusement peut-être. Il grimpe sur le lit, au-dessus d'elle et continue à l'embrasser en lui caressant le visage. Sa main descend sur son cou alors que sa langue perce le barrage des lèvres de la jeune fille. Elle entame un ballet effréné avec sa congénère. A bout de souffle ils se séparent et il la regarde et se relève en position assise, elle l'imite. Face à lui elle passe sa main derrière la nuque du blond et l'embrasse à nouveau. Dehors le soleil brille, ils n'ont pas dormi de la nuit mais qu'importe ? Il n'y a pas de cours aujourd'hui. Alors ils continuent de s'embrasser, de se découvrir, de se désirer, de s'aimer.

*secacheencoreplus* Vous trouvez ça comment ?